dimanche 27 septembre 2009

Le vote éléctronique en question

Le vote électronique à l'université, un texte polémique
Cette proposition de loi vise à relever le nombre de votants dans les élections universitaires

Le député UMP, Arnaud Robinet (son site web ici), présentera lundi à l'Assemblée nationale un projet de loi sur le vote électronique pour les élections dans les universités. Il s'agit de « permettre le recours au vote à distance par voie électronique lors des élections des membres de conseils des établissements publics à caractère culturel, scientifique et professionnel ».

Elle a été mise sur pied pour relever le nombre de votants aux élections universitaires. Arnaud Robinet a déclaré : « Pour vivre, la démocratie universitaire requiert une forte participation ». Or c'est loin d'être le cas avec une participation de 15 % maximum lors de ces élections.

Alors qu'elle n'a pas encore été discutée par l'Assemblée cette proposition crée déjà une polémique. On lui reproche d'être bâclée et surtout de favoriser les inégalités étant donné que tous les étudiants ne sont pas équipés en informatique.

Le président de l'Unef, Jean-Baptiste Prévost, a déclaré à l'AFP : « Nous pensons que ce texte est bâclé, partiel, partial et qu'il utilise la question de la participation des étudiants comme un alibi ». L'organisation étudiante souhaite que le texte soit retiré de l'ordre du jour et reprit « en main avec sérieux, en ouvrant de véritables concertations ».

L'Uni, la troisième organisation étudiante estime pour sa part que ce projet de loi est une « piste intéressante à étudier ». L'organisation affirme : « Nous sommes favorables à tout ce qui favorisera une meilleure participatio...
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Message de la presidence de Lyon 2: olivier Christain declare : "Je partirai évidemment avec des sentiments mêlés"

Cher(e)s collègues, cher(e)s étudiant(e)s,

Dans quelques mois, je cesserai mes fonctions de président et quitterai notre université, après plus de 12 ans passés à Lyon 2. Cette décision n’a pas été facile à prendre et je ne m’y résous qu’avec la conviction que les grandes fondations dont nous avions besoin sont déjà posées à travers notre participation aux projets du plan campus, la réflexion sur la requalification de Bron pour laquelle nous venons d’obtenir une somme importante de la Région, et les axes de notre projet quadriennal. J’ai la certitude que la politique de rénovation engagée se poursuivra. Celle-ci n’était en effet pas mon bien propre, mais un projet collectif porté par une large majorité au sein des conseils et animé par une équipe à laquelle je veux dire aujourd’hui ma gratitude pour son dévouement et son désintéressement.

Je partirai évidemment avec des sentiments mêlés. Fierté d’avoir présidé cette belle université, espoir devant les réformes engagées en matière de démocratie interne et de dialogue social, de formation et de recherche, confiance dans la capacité de notre communauté à se mobiliser. Mais perplexité aussi. Dans un contexte politique difficile pour les université de lettres et de SHS, où l’emballement des réformes ne dissimule pas la remise en cause du modèle universitaire auquel beaucoup d’entre nous étaient attachés, j’ai accepté en juillet 2008 de mettre entre parenthèse mes projets professionnels et personnels pour aider notre université à sortir d’une impasse mais surtout par conviction. A mes yeux, un président ne devait être ni un chef d’entreprise ni un mandarin autoritaire et j’ai tout mis en œuvre pour conforter la collégialité, la transparence, le pluralisme, regrettant qu’aucune autre liste que la mienne ne rejoigne l’équipe présidentielle. Cette conception de la présidence et au-delà de la vie politique de notre établissement rend pour moi incompréhensibles les violences, les menaces et les diffamations de l’année écoulée. Elles n’ont pas servi le débat démocratique ou notre capacité à répondre aux défis qui attendent notre institution ; elles nous ont simplement rendus collectivement moins forts et moins crédibles. Si j’ai ainsi eu le sentiment de ne plus pouvoir défendre mon université, ses personnels et ses étudiants, les disciplines qu’elle abrite, comme je le souhaitais et de ne plus pouvoir remplir le mandat que vous m’avez confié, je suis certain que Lyon 2 peut à nouveau aller de l’avant et poursuivre le renouveau engagé.

Je veux pour cela former tous les vœux pour que mon successeur réussisse à surmonter ces conflits superflus et à rassembler notre communauté. Il pourra compter sur mon soutien, car l’avenir de Lyon 2 ne me laisse bien entendu pas indifférent.

D’ici quelques semaines, le calendrier des opérations électorales sera annoncé : cette nouvelle élection par le CA, dans le plus strict respect de nos statuts, doit être l’occasion de débattre et de nous préoccuper de notre avenir commun.


Olivier Christin,
Président de l'Université Lumière Lyon 2

jeudi 24 septembre 2009

Coordination Nationale la semaine prochaine

La 12ème Coordination Nationale Universitaire se tiendra à l'Université Paris 8 le mercredi 30 septembre, elle sera exceptionnellement ouverte à tous. Venez nombreux !

A partir de 10h, amphi D.
Université Paris 8, métro ligne 13, arrêt : Saint-Denis Université

lundi 21 septembre 2009

Revue de presse du 21 septembre

Le président de Toulouse II - le Mirail tente d'étouffer le feu qui couve

«Il y a toujours des étudiants qui sont prêts à se mobiliser contre la réforme de l’université, la Bourse et le capitalisme, note le président de Toulouse II Le Mirail. Mais notre établissement ne pourra pas supporter un mouvement tel que celui de l’an dernier».

Daniel Filâtre connaît son monde. Il sait que quatre mois de grève des cours avec, au bout, des examens organisés de justesse cet automne n'auront pas convaincu tous ses étudiants de ne pas remettre la gomme dès cette rentrée.

Il met du coup ce monde-là en garde: «Les contestataires doivent savoir qu’il y a des limites. Ceux qui franchissent la ligne rouge seront sanctionnés, dit-il. Les enseignants grévistes auront des retenues sur salaire».

Il annonce de même avoir «porté plainte conte les étu...
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Valérie Pécresse parie sur une rentrée universitaire sereine

Valérie Pécresse a présenté son dispositif pour une rentrée qu'elle espère sereine, après les mouvements de grève qui avaient paralysé l'an dernier une grande partie des universités françaises.

La ministre de l'Enseignement supérieur a mis en avant la stabilisation des effectifs des étudiants après des années de désaffection, la hausse des budgets et des aides aux étudiants.

"Si l'université de la rentrée 2008 était une université qui changeait, l'université de cette rentrée 2009 est résolument une université qui avance", a-t-elle déclaré lors d'une conférence de presse à son ministère, où elle s'apprête à vivre sa troisième rentrée.

"Toutes les conditions sont réunies pour une rentrée sereine", a-t-elle ajouté, saluant notamment la "stabilisation" des effectifs, qui avaient chuté de 10% ces cinq dernières années.

Au total, 2.230.700 étudiants sont attendus cette rentrée dans l'enseignement supérieur en France métropolitaine et dans les départements d'Outre-mer, soit une légère baisse de 0,5%.

Valérie Pécresse voit dans cette situation un "effet positif de l'autonomie des universités, dont l'image sort renforcée" et de l'efficacité de la plate-form...
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L'usine à gaz de la réforme universitaire
Par Pierre Jourde (Écrivain)

En ces temps de rentrée, j'aimerais revenir sur le sujet agaçant de l'évaluation des universitaires. Je l'ai déjà écrit, il y a peu de professions où l'on soit aussi sévèrement sélectionné et évalué. Tout universitaire l'est à plusieurs reprises au cours de sa carrière, par plusieurs instances différentes : pour obtenir ses diplômes et concours, férocement sélectifs, pour être recruté, pour passer à un grade supérieur, pour progresser dans sa carrière, pour obtenir des congés pour recherche ou des détachements. En outre, la production globale de la recherche universitaire en France est énorme compte tenu des conditions matérielles dans lesquelles elle se réalise et de la pesanteur croissante des obligations administratives accumulées par une administration en délire, qui produit continûment des inventions bureaucratiques.

Si l'on considère tous ces facteurs, l'obsession de l'évaluation est purement idéologique. C'est l'application aveugle de préjugés sur le métier d'universitaire, sans connaissance de la réalité, et de ma...
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Lyon : l'amiante en question

Le site d'information rebellyon a publié un article sur l'amiante à Lyon 2
a retrouver ici

Un article sur l'université de Jussieu et les problème d'amiante par le Monde
a retrouver ici

note : Le campus de Bron et le campus de Jussieu ne font pas parti du plan campus

Forum Liberation

En attendant la prochaine AG et des nouvelles fraiches , nous vous invitons a regarder les débats du forum Liberation qui s'est deroulé du 18 au 20 septembre a Lyon. Un debat samedi a 14h30 portait sur l'autonomie des universités
http://www.forum-liberation-lyon.com/

revue de presse du 21 septembre

SLR répond à Valérie Pécresse


L'association Sauvons la Recherche (SLR) riposte aux déclarations de Valérie Pécresse, hier, sur la rentrée universitaire.
Et dénonce une «autosatisfaction dans un climat délétère» tout en se félicitant que les actions menées l'an dernier aient «réussi à limiter les dégâts en ce qui concerne le statut des enseignants-chercheurs, à freiner le désengagement de l'Etat dans l'emploi scientifique et à sauver, du moins provisoirement, le CNRS.»


Lors de son discours de rentrée, la ministre de l'enseignement supérieur et de la recherche a encore une fois exhibé son imperturbable autosatisfaction, son art du mensonge par omission, son incapacité à percevoir la réalité du terrain. Pendant ce temps, notre communauté organise la rentrée dans un manque chronique de moyens, après des mois de mobilisations contre des réformes mises en place dans la précipitation et sans réelle concertation. Cette mobilisation aura réussi à limiter les dégâts en ce qui concerne le statut des enseignants-chercheurs, à freiner le désengagement de l'Etat dans l'emploi scientifique et à sauver, du moins provisoirement, le CNRS. Mais il reste beaucoup à faire et les étudiants et le personnel abordent la rentrée dans des conditions plus désastreuses que jamais.

La ministre prétend que le taux d'encadrement est passé de 25 étudiants par titulaire en 2000 à 20 aujourd'hui. Probablement est-ce pour tenter de justifier la politique calamiteuse de l'emploi scientifique menée par le gouvernement et que nous n'avons eu de cesse de combattre. Faut-il souligner que les données statistiques du ministère montrent au contraire que ce taux est resté stable à un peu plus de 20 pendant ces années, alors que la moyenne des pays de l'OCDE est à 15 ? Est-il besoin de comparer ces chiffres avec ceux des classes préparatoires et des grandes écoles ? En outre, la construction de logements étudiants dont elle s'autocongratule est dérisoire par rapport aux besoins et bien loin des engagements de la construction de 5000 nouvelles chambres par an. La revalorisation des bourses est notoirement insuffisante au regard de l'augmentation des frais d'inscription, des transports et de santé. Voilà la triste réalité.

La ministre se félicite de l'augmentation du budget de la recherche et de l'enseignement supérieur. Elle omet soigneusement de dire qu'il s'agit avant tout d'un transfert de budget interministériel pour payer les retraites des personnels dépendant de notre ministère et que les universités avec le passage à l’autonomie ont des charges nouvelles. Elle refuse également de s'interroger sur l'efficacité du crédit impôt-recherche que la publication d'un rapport a pourtant été récemment gravement mise en doute. Elle se réjouit du budget de plan de réussite en licence, mais oublie de préciser que les universités n’ont ni les locaux, ni les enseignants pour le mettre efficacement en place. En outre que pèsera-t-il face à la dégradation des conditions d'études dans le secondaire et le primaire, qui enverront dans les universités des étudiants encore plus mal préparés qu'auparavant ? Et alors que bien des pays décident de faire de la recherche et de l'enseignement supérieur une véritable priorité, la...
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Les agitateurs réinvestissent l'université Rennes-II



Le président de l'établissement a reçu un seau de lisier sur la tête le jour de la prérentrée.

Depuis quatre ans, l'université de Rennes-II subit les attaques régulières d'une cinquantaine d'«anarcho-autonomes» sans parvenir à y mettre un terme, au grand agacement de l'équipe dirigeante, exaspérée par la réputation sulfureuse qui entache l'institution.

Il y a quinze jours, son président, Marc Gontard, a reçu un seau de lisier sur la tête alors qu'il accueillait ses étudiants de première année. Les tracts lancés par la dizaine de personnes cagoulées qui l'ont agressé, revendiquaient la création d'une «université populaire» avec «assemblée générale permanente» et affirment vouloir «faire tomber Rennes-II».

«Bonne année ! La fête recommence», ont-ils écrit. Ce groupe, Marc Gontard le connaît : «Ils squattent l'université depuis trois ans. Il s'agit d'un problème de droit commun. Je ne peux plus me battre contre ces gens en tant que président d'université. Cela relève plus de la police et de la préfecture.» Antoine, un jeune homme de 21 ans, a depuis été entendu par la police dans le cadre de cette agression avec d'autres jeunes gens. Ce meneur, «un intellectuel spécialiste de la subversion», selon le président Marc Gontard, n'e...
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vendredi 11 septembre 2009

Ca repart

La ronde des obstinés repart à Paris dimanche 13 septembre à 14h devant la Halle Freyssinet, 55 bd Vincent Auriol (m° Chevaleret).

V. Pécresse inaugure sa campagne électorale....
Retrouvez-les nombreux au moment où elle et ses amis J.F. Copé et X. Bertrand doivent prononcer leurs allocutions.

Plus d'information sur :
http://rondeinfinie.canalblog.com/

dimanche 6 septembre 2009

Vers une nouvelle grève?

A quelques jours de la rentrée , les médias commencent a parler de l'ère nouvelle de l'université autonome. Mais la grève du deuxième semestre 200-2009 laisse un gout amère pour beaucoup, un gout d'inachevé. Sans aucune fin précise, celle-ci ne pourrait finalement n'etre qu'en pause. Retour sur 2 mois de pause universitaire . Revu du web :


Lu sur http://alteruniversite.wordpress.com/

Facs : une nouvelle mobilisation à prévoir pour la rentrée

In 1 on 1 juillet 2009 at 11:27

Juste avant de céder sa place à Luc Châtel à l’Education, Xavier Darcos a annoncé la suppression de 16 000 postes. Et après un semestre de dialogue impossible avec le gouvernement, le monde universitaire refuse de rendre les armes. On peut d’ores et déjà prévoir une reprise de la mobilisation, avec d’autres moyens, pour l’automne prochaine.

Sale temps sur la contestation dans les facs. Après cinq mois de protestation tous azimuts, alors que s’amoncellent les copies d’examens sur les bureaux des enseignants-chercheurs, la communauté universitaire accuse le coup. Elle reste sonnée par une politique ministérielle du rouleau compresseur déterminée à imposer, quel qu’en soit le prix, sa refonte du système universitaire français.
Alors qu’est finalement passée, après un très léger toilettage, la réforme tant décriée du statut des enseignants-chercheurs, les universitaires ne veulent pas baisser les bras. Leur lutte contre le démantèlement du CNRS continue. Leur dénonciation de la future formation des enseignants – la “mastérisation”, d’ores et déjà repoussée à 2011 – ne faiblit pas non plus. Mais la Ronde des obstinés a quitté le parvis de l’Hôtel de Ville de Paris, et le temps des grandes manifestations semble terminé.

La dernière “Academic Pride” (une “marche des savoirs”) n’a pas eu le succès escompté. En attendant la rentrée prochaine, la communauté universitaire poursuit donc la lutte en mode mineur. Et fait un “bilan d’étape” pour mieux réfléchir à la suite des actions.
Car malgré son unité, le mouvement doit panser ses plaies. “On a mis du temps à comprendre que le pouvoir ne céderait pas”, analyse Isabelle This Saint-Jean, présidente de l’association Sauvons la recherche. Pour mater sa communauté scientifique, Nicolas Sarkozy semble prêt à tous les excès. “Le gouvernement ne respecte aucune des règles du ...
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Communiqué de presse de la FSE daté du 18 juillet 2009


Valérie Pécresse l'a annoncé : 33 universités vont rejoindre le 1er janvier prochain les 18 établissements déjà passées à l'autonomie le 1er janvier 2009. Près de
60% des universités seront donc passés, à cette date, sous le régime de l'autonomie budgétaire.

La FSE, à l'automne 2007 et cette année, a participé à lancer et a pleinement participé aux mouvements lors desquels les étudiants ont très largement exigé
l'abrogation de la loi Pécresse. La LRU constitue en effet un pas de plus vers la privatisation des Universités et leur fermeture aux enfants de la classe ouvrière.

La FSE continue à se battre pour une Université publique, gratuite ouverte à tous et à toutes. Par conséquent, nous nous opposons à la mise en place de la LRU, continuons de revendiquer son abrogation, tout comme nous exigeons le retour sur toutes les lois dans la lignée du processus de Bologne (comme le LMD).

Abrogation de la LRU !
Pour une fac critique et populaire !

Pour la FSE, le président porte parole, Thomas Miele.

Et si c’était maintenant que ça commençait ?

In 1 on 25 août 2009 at 12:56

Le 10 août 2007 est promulguée la loi LRU (Libertés et responsabilités des universités), adoptée à la sauvette le 1er août : prenant en charge cette élaboration hâtive, Madame Pécresse a pu croire longtemps que la rupture du paradigme universitaire qu’elle promouvait ainsi allait passer sans trop de difficultés. Certes, en octobre 2007, les étudiants engagent un mouvement dans une bonne moitié des universités françaises ; certes, ils sont soutenus çà et là par des universitaires et des collègues du personnel administratif ; certes, un vrai débat est lancé dans certains des syndicats et certaines des associations de l’enseignement supérieur et de la recherche dont l’une, SLU, voit justement le jour à cette occasion ; certes, le débat – et le combat – connaissent une nouvelle étape au printemps 2008 avec le mouvement lié à la remise en cause des organismes publics de recherche. Reste toutefois qu’il y a un an et demi, le monde de l’enseignement supérieur et de la recherche ne s’était pas massivement saisi des questions posées par cette nouvelle loi. Pas plus qu’il ne s’était vraiment emparé l’année précédente des conséquences du Pacte pour la Recherche ou de la création des deux agences nationales (ANR et AERES), dont on allait vite percevoir le rôle essentiel dans le nouveau dispositif voulu par le gouvernement. Toutes celles et tous ceux qui avaient tenté de mobiliser leurs collègues durant cette période partagent sans doute ce constat.

Le premier semestre 2009 nous met devant une situation de nature profondément différente. On pourrait l’expliquer en posant que les acteurs de ce mouvement ont agi à la fois parce qu’ils étaient touchés en tant que personnes et parce qu’ils étaient atteints en tant que membres d’un corps. Du même coup, les conditions commençaient à être réunies pour que le dossier devienne politique aux yeux d’une ...
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Les universités automones