vendredi 13 février 2009

La retention de note, arme incompris

Beaucoup d'université sont ctuellement victime de ce que l'on appel la retention de note. Incompris par certains etudiant , info mouvement pecresse ouvre sa tribume ou les enseignant peuvent s'expliquer:

Le témoignage de Nicolas Guillet, universitaire, sur Rue89 : « Chers étudiants, voici pourquoi je ne donnerai pas vos notes », paru le 1er février 2009

Alors que les universités s'apprêtent à entamer ce lundi un blocage de durée indéfinie, Rue89 a demandé à Nicolas Guillet, un de ses internautes, maître de conférence en droit à l'université du Havre, de nous expliquer pourquoi il s'apprête comme ses collègues à faire la grève des notes.

En nous proposant une tribune, il nous a expliqué que les enseignants havrais "bloquent le système en ne réunissant pas les jurys", "perturbent Pécresse par l'envoi des notes à son adresse e-mail puis par envoi postal".

Précisant que certains profs faisaient même téléphoner leurs étudiants au cabinet de la ministre de l'Enseignement supérieur et de la recherche, il nous a proposé de publier le courrier qu'il destinait à ses élèves, dont certains commençaient à râler.

Chères étudiantes, chers étudiants, ....

SUITE SUR RUE 89 Ici

Un billet intitulé « Quel avenir pour la recherche et l'université ? », sur le Blog des Livres de la revue « La Recherche », par Vincent Duclert (EHESS), paru le 2 février 2009.

Vincent Duclert, historien à l’EHESS, revient sur le discours sur la recherche de Nicolas Sarkozy du 22 janvier 2009, jour du lancement de la mobilisation par la Coordination nationale du supérieur. Il le juge "doublement problématique, du point de vue de la méthode portant la réforme comme du point de vue des références historiques mises en œuvre".

La réponse d'Anne E. Berger à Valérie Pécresse : "L’université sous conditions", sur Fabula, publiée lundi 2 février.

Anne E. Berger, professeur de littérature française et d'études de genre à l'université Paris 8, répond à la tribune publiée par Valérie Pécresse dans Libération le 27 janvier 2009, intitulée "Ce que je veux dire aux enseignants-chercheurs", dans laquelle elle reprend une citation de Jacques Derrida, « Professer, c'est s'engager ». "La manoeuvre est plus naïve qu'habile", estime la professeur de littérature. Démonstration à l'appui.

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