Selon nos informations , l'AG étudiante du campus des quais de Lyon 2 aurait voté le blocage du campus. A l'heure actuelle a quelques, minute après le vote, les équipes de mobilisation discutent des modalités de l'occupation.L'AG a réuni plus de 500 personne pendant la première demi-heure (selon les organisateur et la tribune).
En ce qui concerne le campus de Bron , le vote du blocage devrait être soumis au vote jeudi matin lors de l'AG prévu a 10h.
Nous vous tiendrons informé dès que nous aurons plus d'information.
L'équipe du blog.
Mise a jour:
16h20
La porte principal a été bloqué par des chaises et des tables. Par contre certaines entrées reste ouverte pour accéder aux salles de cours. Certains professeurs continu a faire cours malgré le bruit du a l'installation d'une sono devant la cafet'U. Un stand d'information présent depuis plusieurs jours offre aux étudiants du thé et du café afin d'engager un dialogue.
Depuis la fin de l'AG plusieurs dizaines de personnes se sont runie amphi Lucie Aubrac afin de discuter de la suite du mouvement et les termes du blocage. Elle pourrait durer plusieurs heures .
Parallèlement un groupe d'anti-blocage est en train de se former de manière plutôt lente.
17h20
Lors de l'AG du blocage, la décision de ne pas occupé la nuit a été voté. En conséquence, la fac sera occupé du 7h du matin a 20h. "Nous ne voulons pas que la fac devienne un lieu de fête " confie une étudiante favorable au blocage. "Mais le fait que l'on ai pas voté le contrôle des cartes étudiantes a l'entrée de la fac laisse imaginer que la fac pourrai être squatter par des non étudiants comme ça a déjà commencé" ajoute-elle.
Par contre plusieurs commentaire sur le tabac et les biere en AG dans les amphi fusent dans la salle. Les choix ont été débattu dans la bruit saturé du micro de l'amphi Aubrac cette après midi du 3 mars et devrait être poursuivit demain. En ce qui concerne le respect des consignes de l'AG tout reste a définir et risque d'être difficilement respecté ce soir.
L'équipe du blog
mardi 3 mars 2009
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500 personnes est un nombre un peu excessif. De plus ce blocage semble fort peu démocratique étant donné que la majorité n'était pas vraiment remarquable à l'oeil nu. Devoir préciser que pour voter le blocage être de Lyon 2 est essentiel me semble quand même incroyable.
RépondreSupprimerc'est incroyable !lol
RépondreSupprimerEnviron 200 étudiants, venus assister à leur cours de droit des libertés fondamentales (comprenant la liberté d'expression et la le droit à l'instruction, comme l'a rappelé le professeur aux bloqueurs), ont vu leur cours annulé et leur professeur contraint de renoncer à faire cours, en raison du trouble causé par une vingtaine de (étudiants?) bloqueurs, qui se sont pourtant fait hués par la quasi totalité de l'amphi, qui réclamait la tenue de leur cours... et vous parlez de démocratie?
RépondreSupprimerEn effet, 500 étudiants, c'est un peu exagéré.
RépondreSupprimerQuant au vote, pourtant partisane de la lutte pour le retrait totale de la réforme, j'affirme haut et fort que c'était un simulacre de démocratie : la majorité n'étant pas déterminable à main levée, la tribune a demandé aux étudiants de se placer à sa droite ou sa gauche selon son choix. Il y avait à peu près autant de monde de chaque coté, mais, étrangement, cela n'a pas posé de problème à la dite tribune (composée, je crois bon de le rappeler, uniquement de pro-blocage) qui s'est empressée en moins de trente secondes de déclarer que le blocage était majoritaire.
Je pense qu'il est inutile de préciser qu'aucun contrôle de l'identité des votants, qui aurait pu se faire simplement si chacun avait voté en brandissant sa carte d'étudiant, n'a été effectué.
Il est un peu ridicule de se réclamer de la démocratie dans de telles conditions, qui plus est quand les "organisateurs" de l'AG refusent net toute idée de vote à bulletin secret, qui est quand même une des principales avancées ayant permis que s'installe une réelle démocratie en France, il y a de cela presque 100 ans.
En définitive, le blocage n'a pas été voté, il a été imposé.
Il faut saluer toutefois (seule note positive) que la prise de parole a été relativement libre et respectée et que l'on a pu entendre différents sons de cloches, même si comme d'habitude les principaux représentants syndicaux n'ont pas su s'empêcher de faire de grands discours pompeux sur la nécessité de lutter et les raisons pour lesquels nous sommes mobilisés, raisons que tout étudiant s'entend rabâché depuis bientôt quatre semaines. Nous avons donc subi plus de 2h d'AG pour un débat qui aurait pu se faire en moitié moins de temps...
Chacun en pensera ce qu'il souhaite.
Nous pouvons dire a l'heure actuelle que le chiffre de 500 personne et possible si on compte les personnes qui sont passé dans la cours de l'AG. En ce qui concerne le vote on peux envisager le chiffre de 300 personnes pour etre plus realiste
RépondreSupprimerMoi je pense qu'avant de supprimer les lois et décrets en tout genre, il faudrait supprimer les syndicats étudiants parce qu'aujourd'hui le principal obstacle qui m'empêche d'étudier ce n'est pas le gouvernement ou la législation, c'est ces satanés menteurs de feignants d'hypocrites de syndicalistes étudiants !
RépondreSupprimerJe suis bien d'accord avec ce dernier commentaire. Encore plus depuis que j'ai constaté le manque de diplomatie de ces personnes qui nous imposent leurs choix sous prétexte que si on peut pas aller en cours on ira manifester (je crois bien qu'ils rêvent là....) ou encore qui se bagarrent en haut d'un escalier de secours
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