vendredi 20 février 2009

Revue de presse du 20 fevrier 2009

Il fallait que ça arrive a un moment ou un autre. Et oui la Sorbonne a eu son occupation. Mais aussi éphémère que les espoirs de Valerie Pecresse de sortir sans embuche de conflit, le "blocage" n'aura duré que quelques heures. Alors pour rassurer un nouveau plan est a l'étude mais calmera-t-il les grévistes? ...



La Sorbonne occupée par 200 étudiants pendant la nuit


Après avoir battu le pavé dans les rues de Paris, entre 200 et 250 étudiants ont occupé vers 20 heures un amphithéâtre de la Sorbonne pour protester contre les réformes dans l'enseignement supérieur et la recherche .

Voici les images filmées par Rue 89 :
La suite sur le site du point



La Sorbonne occupée : "Il faut durcir le ton"


L'occupation de la Sorbonne marque-t-elle une radicalisation volontaire du mouvement étudiant ? par Maxime Lonlas, vice-président étudiant de l'université Paris-IV Sorbonne


- La radicalisation, ce n'est jamais bon si cela dure trop longtemps. Mais il faut durcir le ton, comme l'ont dit les présidents d'université, car en maintenant son décret, la ministre Valérie Pécresse prend les étudiants en otage. Mais l'occupation de la Sorbonne n'a rien de dangereux! C'est une réponse symbolique qui montre que les étudiants se réapproprient un lieu de savoir....
La suite sur le site du nouvelobs ici


Université : les étudiants très présents dans les défilés

son sur le site du monde ici




Pécresse : du dialogue, toujours, mais surtout un nouveau texte


C'est au Sénat que la ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, que l'on ne cesse tous deux d'enterrer à tour de bras, a affirmé qu'un nouveau texte arriverait « dans les semaines qui viennent ».

Il sera le fruit de la réflexion de la médiatrice nommée, celle qui devait servir à « lever tous les malentendus dans la communauté universitaire ». Celle-là même que Sauvons La Recherche avait refusé de rencontrer, d'ailleurs.

Le sénateur UMP, Alain Gournac, a quelque peu tendu la perche à Valérie Pécresse, pour la sortir du bourbier de ces dernières semaines de protestation, cette dernière ajoutant que sa démarche a « toujours mis son action sous le signe du dialogue ». À n'en point douter...

Claire Bazy-Malaurie, la médiatrice, donc, « avait ...
La suite sur actualité.com

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

Nous déclinons toute responsabilités vis a vis du contenu des commentaires.